mardi 10 avril 2012

Les champs de tulipes en Hollande

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Je vous ai déjà présenté ici  Keukenhof à la saison des bulbes 









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samedi 7 avril 2012

Joyeuses Pâques

Salon de l’œuf décoré

..."L’un des mythes les plus intéressants est celui de la création du monde décrit dans les Védas : Svayambu (qui veut dire né de lui-même) créa les eaux cosmiques pour y déposer sa semence. Il en sortit un œuf d’or qui se mit à nager sur les flots. De l’œuf jaillit Brahma, créateur du Premier Univers et de chaque nouvelle ère cosmique. Des deux parties de l’œuf brisé, il en fit le Ciel et la Terre. Il créa aussi les êtres vivants, l’Esprit, les cinq sens, le temps et ses divisions. Puis, il se partagea en deux pour donner naissance à l’homme et à la femme.
      Ce mythe est intéressant à plus d’un titre ; il est consigné dans les Védas qui est le livre sacré des Hindous et il est écrit en langue sanscrite qui serait la langue originelle des Indo-Européens dont le berceau de dispersion serait en partie en Ukraine. Aussi en apprécie-t-on toute la portée spirituelle et historique. Tous les pays qui ont connu les migrations indo-européennes aux IVème et IIIème millénaires ont dans leurs légendes ce mythe originel avec évidemment des variantes locales. En Ukraine, au lieu du monde, c’est un royaume qui sort de l’œuf. Ce qui laisse supposer qu’à une époque très reculée, il existait déjà une société hiérarchisée.
 L’archéologie elle, nous renseigne sur l’importance de l’œuf dès l’époque paléolithique. En effet, dès l’apparition des rites funéraires à l’époque moustérienne (100000 av J.-C.), l’œuf s’y trouve associé sous forme de galet. A l’époque magdalénienne (35000 av J.-C.), la genèse de l’humanité issue de l’œuf cosmique s’exprime dans les vénus stéatopyges (vénus aux grosses fesses). La vénus paléolithique représente la Grande déesse-mère. C’est la Terre-mère de tout ce qui vit, c’est la protectrice du foyer.
      Au néolithique et au chalcolithique on assiste au développement de l’agriculture et de l’élevage, l’usage de la céramique et des métaux se répand. Curieusement on voit apparaître en Ukraine (culture trépillienne) et dans les Balkans, des vases soit en forme d’œuf, soit décorés de peintures d’oiseaux et d’œufs.
 Objet de culte lié aux fêtes d’équinoxe de printemps dans les sociétés les plus anciennes, Persans, Celtes, Romains… associé aux fêtes de Pâques à l’ère chrétienne, l’œuf décoré est devenu au fil des ans une véritable œuvre d’art.
      En France, les archives d’œufs peints remontent au XIIIème siècle avec des thèmes religieux. Sous Louis XIV et Louis XV, à la cour de France, certains œufs de printemps sont décorés par les plus grands artistes de l’époque. Les peintres Watteau et Boucher s’initient à cet art. La tradition se maintiendra dans d’autres cours royales et à la cour des tsars de Russie, l’exubérance de la décoration atteint un paroxysme inégalé avec les œufs de Peter Carl Fabergé au XIXème siècle.
      La richesse des thèmes, la diversité des techniques représentées dans ce salon international de l’œuf décoré témoignent de la pérennité de ces traditions ancestrales..."
Texte pris sur ce site

dimanche 1 avril 2012

James Christensen








"...Inspired by the world's myths, fables and tales of imagination, James C. Christensen wants his work to add up to more than a beautiful - if sometimes "curious" looking work of art. Having taught art professionally for over 20 years, he likes to think of the world as his classroom. His hope is that through whatever he creates-be it a porcelain, fine art print or book-he can convey a message, inspiration or a simple laugh. He believes that teaching people to use their imagination helps us find solutions to sooth the stresses of everyday life-or get a little lift to help us keep going. In short: all things are possible when you share Christensen's philosophy that "Believing is Seeing."

Christensen was born in 1942 and raised in Culver City, California. He studied painting at Brigham Young University and, for a while, the University of California at Los Angeles before finishing his formal education at BYU. Since then, he has had one-man shows in the West and the Northeast and his work is prized in collections throughout the U.S. and Europe.

 Christensen has also won all the professional art honors the World Science Fiction and Fantasy Convention can bestow, as well as multiple Chesley Awards from the Association of Science Fiction and Fantasy Artists. Christensen has been designated as a “Utah Art Treasure,” one of Utah’s Top 100 Artists by the Springville Museum of Art and received the Governor’s Award for Art awarded by the Utah Arts Council recognizing the significance of Christensen’s artwork to Utah’s cultural communities. He was inducted into the U.S. Art magazine’s Hall of Fame and is an Honored Alumnus at Brigham Young University for his contributions to fine art and education. James and his wife Carole, co-chair the Mormon Arts Foundation. He is a frequent guest lecturer at Brigham Young University, and has also given workshops to large companies and organizations on the subject of creative thinking, including the California Art Educator’s Association, Hallmark and Intermountain Health Care.

In addition to his fine art limited editions on paper and canvas, Christensen’s work can be found in five acclaimed books and a series of interactive journals, and in three dimensions in porcelain and hand-crafted, limited-edition bronze sculptures..." 

Quel talent! J'adore...